Avez vous déjà ressentit quelque chose de si profondément merveilleux, que lorsqu’il vous a été retire, votre vie devint insupportable?.... Je crois que lorsque l’on aime quelqu’un, et que cette personne vous aime en retour vous devenez uniquement vulnérable…. Ils ont sur vous le pouvoir de vous blesser comme rien d’autre au monde.
Biographie Mon nom est Cyprian Vincenzo Valerius, je suis originaire de l’Italie, plus précisément de Firenze. Ma famille n’était pas immensément riches, mais nous étions confortable et vivions une vie bien aisée. Par contre, notre plus grande richesse venait de l’influence que nous cultivions auprès de nos semblables. Nous étions porteurs d’une lourde et dangereuse tache. Protéger et défendre l’humanité du plus grand secret du monde, mais aussi le plus sombre. Ce secret était l’existence des Vampires, ces animaux qui renoncent à leurs humanité pour une suprématie au-dessus de leurs semblables et qui imperméable a la souffrance qu’ils causent, se nourrissaient du sang des mortels et les traitais comme du bétail. C’était généralement l’ainé de ma lignée qui prenait le fardeau de chasser nos prédateurs. Il y avait eu un petit problème à ma naissance car au lieu d’un seul héritier, nos parents eurent des jumeaux. Moi d’abord et Akeron fut le second. Mon père décida de me former moi et de mettre mon frère en charge du domaine que nous possédions. Ainsi nos attentions se retrouveraient focalisées sur une tache spécifique au lieu de devoir disperser nos devoirs. Quoi que nous fussions toujours ensembles, moi et mon frère avons été élevé un peu différemment. Lui apprit à gérer le domaine, a bien se comporter en société et il apprit les finesses de tenir les finances d’un commerce. Pour ma part ce fut l’art de l’épée, le combat rapprocher, la chasse et la traque de ces créatures de la nuit. C’est cela, j’imagine qui fait de moi et de mon frère des gens si différents, malgré nos physiques semblables. Mais je ne m’attarderai pas à ma vie mortelle qui est fade et dissipée maintenant dans ma mémoire. Ce sont tout simplement les premiers balbutiements de l’homme que je suis devenu aujourd’hui. Il y a bien sur eut des amours, des peines et des joies, comme tout le monde, mais les gens qui partagent ces souvenir sont depuis longtemps mort. Sauf pour mon frère évidement… même si parfois je me demande encore quelle partie de lui est encore en vie, ou s’il reste quelqu’un derrière la cruauté qu’il démontre…. Bref les seuls moments qui sont encore vif dans ma mémoire sont ceux que j’aurais préférés oublié. Ce sont aussi ceux qui ont précédé le monstre que je suis devenu. J’avais atteint mes 23 ans quand mon père mourut dans une chasse et le groupuscule de chasseur avec lequel j’étais m’avait alors choisi comme son remplaçant. Je n’étais pas le plus jeune, mais je n’étais certes pas le plus vieux. Ce rôle était rempli par le meilleur ami de feu mon père. Il se nommait Desmond Leoness et il était le meilleur homme d’épée que j’aie vue. Il avait été mon professeur alors que j’apprenais encore le maniement de cette arme de corps à corps. Le plus jeune se nommait Lorenzo Cagliari. Il était toujours partant pour un combat et parfois trop téméraire, mais c’était un bon jeune homme. La dernière addition à notre groupuscule était un peu spécial, son nom était Camille Romani. Nous avions longuement hésité à l’ajouter dans notre groupe, non pas à cause de ses capacités, mais à cause de son statut de femme. Cet événement n’était pas courant à mon époque. Mais son père n’avait pas eu de fils et elle était sa seule héritière. Il l’avait formé comme il l’aurait fait d’un fils et l’engagement qu’elle avait accepté incluait la condition qu’elle se retire dès qu’elle aurait un descendant mâle assez âgé qui pourrait prendre sa relève. C’est à cette femme, belle, ingénieuse, et imaginative que mon cœur appartenait à l’époque et à qui il appartient encore au fond de moi. Mais mon devoir était pour moi plus important que les sentiments du cœur. Donc bien que l’attirance ait été mutuelle, nous n’avions jamais envisagé une union officielle, nous vivions une vie pleine de morts et de sang. Et je n’avais aucune raison de perpétuer ma famille mon jumeau s’y étant déjà employer. Moi j’étais dans l’ombre et je m’assurais qu’ils aient une vie calme et tranquille loin des périls que j’affrontais toute les nuits. J’étais leur bouclier humain contre ce Mal. De son côté Camille n’était pas pressée d’avoir un fils, considérant que cet action la mettrais hors course pour être un chasseur. Notre groupe était efficaces et nous étions bien entraîner, nous avions traqué plusieurs vampires et avions reçu notre lot de menaces sans aboutissement. Aussi quand un événement semblable arriva encore, nous n’y avons pas prêté grande attention… Il était tard, nous avions passé plus de la moitié d’une nuit à rechercher un vampire qui nous glissait entre les mains depuis plus d’un mois. Nous avions eu largement le temps de d’étudier son mode opératoire, la plus part des vampires ont leurs préférences et bien qu’elles ne soient pas une règles absolue, c’est une manière parfois suffisamment efficace pour piéger un vampire imprudent. Et justement, celui-là l’était suffisamment. Il avait des goûts particuliers, de femmes majoritairement et la plus part d’entre elles de basse extraction et de mauvaises vertus. Donc la plus part du temps des filles de joies. Nous avions réussi à limiter nos recherches à un coin spécifique. Heureusement, ou malheureusement, cela dépend du point de vue, nous avions une femme dans nos rangs. Elle avait donc réussi à s’inséré sous couvertures avec un déguisement valable et l’aide de certaines des demoiselles qui croyaient a l’existence d’un tueur en série et non pas d’un vampire. Nous l’avions donc sous bonne garde. Camille s’activais a l’attiré vers elle et cette soirée-là elle avait réussi son coup. Le plan était simple et il fut respecté à la ligne. L’attiré, l’éloigné et le tuer. Nous étions tous posté à des endroits différents. Desmond à la porte d’entrée en mendiant quêtant des sous, mais avec une visibilité vers l’intérieur au cas où il se passe quelque chose de mal et que tout dérape. Lorenzo était à l’intérieur, chantant fleurette à d’autres demoiselles, mais gardant un œil sur notre animal et notre chasseuse. Pour ma part, j’étais dans le rôle d’un ivrogne (je m’étais presque asperger d’alcool pour le besoin de la cause, leurs nez était plus fin que le nôtre après tout) et je feignais d’être sous l’influence de l’alcool. Notre cible chantais fleurette a notre chasseuse et tout allais bien. Sauf pour mon propre moral d’entre son rire provoquer par cet homme, même si je me doutais qu’il n’eut été que pour le besoin de la cause et de l’imaginer mettre ses pattes sur elles ne me mettaient pas dans la plus douce des humeurs, mais je devais patientée pour les besoin de la cause. La soif de l’autre devint suffisante pour qu’il décide ‘’d’attirer’’ sa proie dans un coin sombre. Nous étions alors mis en route, le suivant en filature. Ce ne fut que lorsqu’ils furent finalement seuls que nous avions agis. Mais ce maniaque ne laissa qu’un rire fou filtré de ses lèvres alors que nous mettions fin à ses jours. Chose étrange il ne s’était pas battu, ni défendu, il s’était contenter de mourir… Nous avions eu besoin d’éclaircissement sur ces agissements étranges, et nous avions donc décidé de retourner à sa cachette, l’endroit où il se cachait de jour. Nous avons remonté la piste simplement pour découvrir qu’il était seul et que personne ne s’y trouvais, Desmond et Lorenzo décidèrent lorsque le soleil commençais à se lever qu’il était temps de rentrer chez eux, ce soir serais surement un autre soir à devoir être vigilant, moi et Camille étions trop curieux pour nous arrêter la et nous avions fouillé a deux sa cachette pour n’y trouver qu’un simple sac personnel et des effets sans conséquence. Mais le sac semblait contenir des effets intéressant qui nous mettraient peut-être sur une nouvelle piste. Nous avions donc convenu de l’emporté avec nous et de rentrer aussi. Elle m’accompagna dans ma demeure, petite et discrète, avec une décoration des plus simplistes. Alors nous nous sommes alors installer dans ma bibliothèque. Camille s’empressa donc de vider le sac sur mon bureau. Je la laissais toujours faire la première après tout elle adorait tenter de reconstituer les indices et ce faisant parlais toujours à voix basse. Comme je commençais à être fatiguer, je l’avais laissé fouiller seule et lorsqu’elle aurait terminé j’examinerais moi-même les indices. Je ne sais combien de temps cela dura, mais elle finit par me taper sur l’épaule, je m’étais assis sur un fauteuil près du feu et je somnolais depuis un certain temps, et me réveilla en me glissant une lettre sous le nez. Il y était écrit les bribes d’un plan, concernant… nul autre que moi. Il était censé récupéré des informations et les envoyer a une tierces personne puis de disparaître au plus tôt. Et à voir les dates qui y étaient écrites, nous l’avions tué trop tard. Il allait falloir préparer nos armes et attendre la tempête… Mais je commençais à douter qu’ils ne viendraient jamais, c’était sous-estimer la patience des vampires. Il revint, simplement il n’attaqua pas quand et où je m’attendais. Et ce ne fut que lorsque je revins d’une chasse que je me rendis compte du désastre que j’avais pu causer juste parce que je faisais ce que l’on m’avait appris à faire. J’avais décidé de rentrer passer une partie de mon temps de repos chez mon frère jumeau. Après tout je devais passer la journée avec lui après m’être reposé. Mais ce qui m’accueillis a la maison fut loin d’être des bras fraternels et mes souvenir à la fois vif et éteint ne peuvent décrire clairement l’horreur qui se dévoilait devant moi. Je n’ai jamais su ce qui s’était déroulé à cet endroit. Je n’ai qu’assisté à ce qui restait de la scène finale. La porte principale était encore ouverte, et du sang coulait le long des escaliers, le major d’homme reposait en haut, sans vie. J’enjambais son corps sans vie et à travers les corps de la maisonnée j’ai cherché ma famille. C’était une vraie hécatombe. J’ai retrouvé ceux-ci au deuxième étage non loin de leurs quartiers. Ils étaient suspendus au mur cloué là par des pieux de bois. Et de leur sang était marqué un message m’étant destiné. Nous avons ton frère, tu seras le prochain. A ce moment précis, ma tête déjà remplie d’horreur et le cœur emplis de culpabilité et de remord , je ne pus m’empêcher de sombré dans ma tristesse et de laisser les larmes coulée alors que je prenais la journée pour mettre mes proches en terres et prier pour leurs repos, malheureusement je n’avais eu guerre le temps de leurs donner des funérailles complète. Je me rendis ensuite couvert de terre et de sang a la demeure privée de Camille et ce fut celle-ci qui demanda un rendez-vous urgent le soir même. Ce fut donc au coucher du soleil que nous nous rejoignirent. Prêt à monter un plan pour traquer et retrouver la créature qui avait abattu un tel malheur sur les gens de ma famille. Dans notre repère dont seul nos familles et nous-même connaissions l’existence. Mais s’était trop espéré que nous ayons du temps, car l’enfer se déchaîna à nouveau sur nous. Car ce ne fut pas moi qui retrouvai mon jumeau, mais bien le contraire. Aveuglé par la haine et la colère, la perte des êtres cher et probablement manipulé par la créature qui avait amené un tel carnage sur nous, il avait mené un groupe de vampire à notre cachette sachant surement que j’y serais pour tout planifier. Lorenzo fut le premier à périr, son impétuosité lui coûtant sa vie. Desmond fut le second, car un vampire sauta derrière lui et plus vite que le temps d’un battement de cœur mit fin à ses jours. Je ne sais trop ce qui c’est passer par la suite, je me souviens qu’on m’ait frappé, puis avoir vu vaguement Camille s’effondré sur le sol. Puis ce fut le noir. Je ne sais combien de temps je fus dans un noir total, mais lorsque je me suis éveillé, j’étais envahis par la faim, une faim que de la nourriture habituelle ne pourrais pas éteindre. On avait fait de moi mon pire ennemi et on avait tué ma famille, mes amis et tourné mon frère contre moi, et qui savait s’il était toujours vivant ? Mais la question n’était pas la bonne en ce moment alors que j’avais une panique qui commençais à s’installer dans mes veines, je ne pouvais pas bouger correctement et le me sentait écraser. Je n’eus pas le temps de comprendre que mon instinct prenait le dessus et que je commençais à creuser les terres de mes mains pour me sortir du trou dans lequel on m’avait jeté. Mais à peine ma main sortait du sol qu’un autre s’en empara et que je fus rapidement encercler puis à nouveau maîtrisé par des vampires. Je fus jeter dans une pièce, mis en isolement et je sentais ma faim grandir plus le temps s’écoulais au point ou la seule pensée qui commençais a m’obsédée était le sang. Et mon esprit se perdait dans la pensée ou normalement je ne me serais pas aventuré, mêlant toute les images de sang qui coulaient comme une obsession qui noyait mon esprit. Puis un bruit attira mon attention, une porte s’ouvrant, une porte vers l’extérieur, mais le peu de moi qui restait enfouis dans la bête se contint suffisamment pour ne pas tenter de sortir par la porte et courir me nourrir au premier cou qui passais par la, ironiquement ce fut la personne devant moi qui me permit de récupéré un peu de contrôle sur moi-même. Cet homme, c’était mon frère, mon miroir. Les temps qui suivirent furent dur pour moi car mon frère me tourmenta encore, un sourire si avide de mes souffrances que j’eu peine a le reconnaître. Mais ses mots, dans ma tourmente semblais aussi doux que du miel et ma faim obsédante me poussais à écouter ce qu’il me disait alors qu’il me promettais des choses que je ne comprenais pas réellement… et que j’aurais surement refusé si j’avais eu tous mes moyens. Puis mes pas m’amener avec lui dans une autre pièce et mon nez m’apportais les douces odeurs du sang d’autrui, augmentant mon désir, un pas après l’autres alors que mes yeux se portaient sur ma futur victime, car je savais que je ne pourrais résister à cet appel. C’était Camille… du fil de fer était planté dans sa peau et son sang s’écoulais le long de celui-ci, touchant le sol goûte a goûte dans un bruit qui pour moi sonnais aussi fort que le son de cloche d’église pour un sonneur. Mon frère m’avait alors lancé une invitation et je me suis avancer vers elle. Pas après pas, malgré mon cœur, cette soif de sang prit possession de mon corps et bientôt, je me retrouvais avec la femme que j’aimais dans mes bras, ma bouche s’approchant de son cou et je sentis quelque chose couler le long de mes joue, je ne sût jamais si c’était son sang ou bien des larmes, mais je sais que la douleur de cet acte me perdis à mon tour, et je m’abreuvais sur elle jusqu’à ce que son corps soit exsangue. A partir de cet instant, tout de mon être rejeta l'homme que j'avait été ces sentiments montant en vague en moi me permettant grâce a mes nouvelles capacité de devenir un monstre, de m'y perdre et m'y noyer. J'arrivais presque a ces moment d'oublier la terrible trahison que j'avais faite, celle de ne pas avoir protéger mon frère du Mal, celle d'être tombé, celle d'avoir tué la femme que j'aimais... mais son visage et celui de mon frère me poussaient toujours a de nouvelles extrémité comme un alcoolique se noie dans son alcool jusqu’à tout perdre, je fit de même. Le vampire qui nous avait créer moi et mon frère nous montra comment cacher nos actes, les camouflé pour que mes anciens frères d'armes ne remontent pas leurs piste jusqu’à moi et mon frère. Puis le temps passa et j'en eut assez de ce joug tyrannique de ces action barbares et de cet homme qui nous amenais de plus en plus vers le contraire de nous même. Mais je ne sais pas si l'idée vint de moi ou de mon frère, mais nous avons réussi a nous entendre au moins sur le point qu'il en était assez de cet homme. Nous avons monter un plan pour nous débarrasser de lui. Et nous l'avons mis en place. C'est ce plan qui m'ouvrit les portes de ma nouvelle maison, car malgré mon frère j'ai réussi a me faire accepter dans la faction opposée a celle d'ou nous étions issus en offrant la vie de leurs ennemis. Nous sommes alors partis en Amérique et j'ai prit mes distances du mal que nous avions créer, offrant mes services aux princes jusqu'à ce que l'un d'eux consente a m'accepter dans ses rang, j'ai travailler fort afin de montrer que j'était a la hauteur. Mon expérience de chasseur, puis mes connaissances du sabbat me permirent d'atteindre une position qui me raccrochais a mon passé, au bon moment de mon existence. J'ai mit au clair l’existence de mon frère a la camarilla et bien qu'il soie toujours un monstre, je leurs ai parler que je ne pouvais pas lui tourné le dos et que je ne cesserais de lui rappeler qui il avait été pour qu'il jour, sa femme et ses enfants n'aient plus a se retourné dans leurs tombe et que Dieu consente peut-être a lui pardonner ses erreurs et qui sais, les miennes....
¦ Profession ¦ Bibliothécaire au Owl's point¦ Occupation ¦ Il gère sa librairie ouverte pour les oiseaux de nuit, avec tout les ouvrages originaux ou neuf qu'il a peut acquérir depuis son arrivée a New-York peu après la guerre de sécession.¦ Résidence ¦ un petit appartement au dessus de sa librairie¦ Jeu +16? ¦ Bien sur¦ Code de validation ¦