L'Artiste a connu plusieurs apparences pendant sa non-vie. Mais Jared est essentiellement très grand  avec une belle corpulence, musclée mais fine. Des épaules larges, un dos droit, de fortes jambes et de grandes mains avec des doigts fins. Un visage fin avec une belle mâchoire qui selon l'année se transforme en barbe hipster ou en barbe de trois jours.

Une bouche avec des lèvres un peu fines qui ont un goût exquis lors d'un baiser (bien sûr c'est une image hehe) et des dents parfaitement blanches. Un nez d'européen et deux saphirs luxuriants en guise de paire d'yeux. Son regard est quelquefois inquisiteur mais il en dégage une extrême douceur mais attention au loup qui dort. Ce regard peut s'avérer menaçant pour certain. Ses yeux sont assez expressifs, ce qui est un avantage autant qu'un défaut. Et bien sûr, son teint légèrement pale qui vient sublimer le tableau.

Il possède une grande chevelure d'or mais une partie est rasée sur le côté. Offrant un côté unique-punk rebelle. Quelquefois il se fait une teinture ou deux, rouge, noir, violet n'importe quoi! Et il se coupe rarement les cheveux vu que de toutes façons, ils repoussent rapidement. Pour le confort il s'attache les cheveux avec un élastique qu'il garde toujours sur lui. Il a également deux piercings sur l'oreille. Dégénéré comme il est, il s'est fait deux tatouages: un sur  le dos  et l'autre sur le mollet gauche.

Son style vestimentaire (soigné jusqu'au bracelet près) varie en fonction de la mode mais c'est essentiellement du indie-hips qui le caractérise le plus souvent en dehors de son travail. Il aime aussi mettre des tenues peu communes (...) et des costards cravates lors des Elyseums organisés par son clan.

Bref, il porte de tout ! Enfin depuis que sa Dame a démolie son ancien dressing à coup de poing. En parlant de coup de poing, il lui arrive d'emmener une arme avec lui, au cas ou...

Que dire de plus sur lui? Qu'il arrive à se distinguer des autres facilement et quand quelqu'un d'autre s'habille pareil que lui, au lieu de piquer une crise et de l'insulter de tous les noms il l'invite à prendre un café (mais il ne le boit pas, sauf s'il rajoute de la vitae).

Vous me verrez (presque) toujours entrain de sourire, je n'ai pas l'habitude de déprimer comme ces ados qui se coupent les veines ou je ne sais quoi. Mais j'emmène mon sourire partout sauf sur mon lieu de travail ou lorsque ma dose d'émotions est trop forte. Je suis un être très sociable, j'ai tout le temps besoin de parler avec quelqu'un même avec mon chat s'il le faut. Quelquefois je préfère me perdre dans l'immense tranquillité qu'est la solitude, alors là foutez-moi la paix, sauf si vous êtes mon amant ou quelque chose dans le genre. Sur mon lieu de travail je ne suis pas toujours souriant, ce qui est sérieux doit rester sérieux. Mon poste ne me permet aucune erreur donc comprenez-moi. Si on met tout ça de côté, mon entourage me considère comme un petit souriant, mais ce n'est qu'un joli masque vénitien

Je suis née avec une hypersensibilité, dans tous les sens du terme. Ma perception est plus que développée, aucun détail ne m'échappe. Je suis pleinement conscient de mon environnement et cette capacité innée arrive aussi à un stade appelé Empathie. J'arrive à connaitre vos intentions rien qu'en vous regardant, observant vos réactions et vos tics.

Cette Empathie peut être considérée comme un atout ou un handicap, je peux aussi ressentir les émotions de tous les gens qui m'entourent. Leurs peurs, leurs joies, leurs colères et une large gamme d'état émotionnel. C'est un don assez troublant mais j'arrive à le contrôler avec ma grande maîtrise de soi, donc je me mets rarement en colère. Malgré le calme lac de ma personnalité extérieure, l'intérieur se résumerai à un lac frappé par un ouragan. Où émotions et raison se livrent de sanglantes batailles. J'avoue que quand je suis au point d'achever un ennemi, j'éprouve un certain plaisir malsain et puis... Quel vampire n'a jamais ressenti ça?

La mort ne fascine pas, mais elle me rend curieux. Détrompez vous! Je ne m'amuse pas à zigouiller cent personnes pour savourer cette sensation mais c'est juste l'acte d'effacer qui est intéressant et effrayant par la même occasion.

Mes livres de sciences ont survécu à la main de ma Sire, car elle adore aussi les sciences. La science est un art, un art de savoir. En particulier les sciences occultes, l'ésotérisme et encore d'autres sujets sur la magie et le monde. De nature polyvalente en étude, je me suis spécialisé dans tout; chaque décennie je fais un doctorat d'un quelconque domaine (depuis son apparition dans le système académique).

Dans la société caïnite on me connait pour ma polyvalence artistique: le dessin par excellence, la photographie, la musique et encore d'autres domaines. Et n'oublions pas ce cher poste de Sentinelle qui est passée à Prévôt de Los Angeles et de Londres! Bon, soyons un peu modeste quand même.

La passion fait partie d'une de mes qualités, aucune mais je dis bien aucune de mes oeuvres ne sera faite sans l'ombre d'une partie de mon âme. Cette passion qui brûle en tout Toréador est bien présente en moi et cela depuis le début. Je n'ose imaginer un dessin sans sentiment ou une statue sans l'effet du mouvement. Une activité quelconque sans passion est un but insipide qui n'a plus raison d'être. Je préfère qu'on me coupe les mains que de repousser ce sentiment si exquis.

Passion: Pour-accroire-son-sentiment-instinctif-omniprésent-naissant.

En ce qui est de mon coeur, j'aime séduire et être séduit. J'adore faire durer le jeu pendant un long moment pour ensuite passer à l'offensive, que ça soit avec un homme ou une femme (la gente masculine me diverti plus que la féminine). Avec moi faut aussi utiliser sa tête, un peu contradictoire pour un Toréador. Mais soyons honnêtes, on aura beau dire que le physique ne fait pas tout, mais il joue un rôle très important dans l'amour.


Ahhh l'art, ce très cher mot vénéré par mon clan. La vision de l'art d'un Toréador est différente de celle d'un autre Toréador. La mienne est à la fois simple et complexe, l'art est la représentation casi-éphémère d'une création destinée à transmettre notre façon de voir les choses d'un point vu intime pour enrichir d'autres mentalités qui à leurs tours feront la même chose et vice versa. Cette définition est plus longue que celle qui apparaît dans wikipedia.

Mon péché mignon est l'environnement moderne, tout ce qui est innovant me passionne. Venez faire un tour dans ma résidence et vous pourrez le constater. Ainsi que la nature nocturne baignée par les rayons de Mère Lune.

Je suis né en France en 1723, dans une famille de la bourgeoisie française et londonienne. Ma mère Lucie était parisienne et mon père Philippe était londonien. Pendant ma tendre enfance je faisais des allés et retours entre Paris et Londres. Mes parents riches comme Crésus, dépensèrent une fortune pour mon éducation et ils ont bien fait. J'avais à ma disposition les meilleurs professeurs d'Europe. Mon grand-père Aurélien, m'enseigna dès mon plus jeune âge le dessin. Rapidement, je passai d'un gribouilli à une petite oeuvre d'un étudiant en art. Ma famille a tout de suite remarqué mon don, ainsi le patriarche de la famille me perfectionna pendant les années suivantes.

Pendant ces belles années j'étais un vrai petit ange, quoiqu'un peu critiqueur sur les bords. J'étais rarement capricieux et si je voulais quelque chose c'est que c'était vraiment important pour moi. Comme cette toile de cette peintre... Malheureusement ils l'ont pas pu l'acheter.



Ahhh l'adolescence... Personne n'y échappe, mais ce fut une bonne période pour ma part. Mon père voulait que je mette ce talent artistique à profit, Philippe avait beaucoup de contact artisans, parmi eux des artistes. D'abord j'ai commencé à faire des sculptures pour des églises et des palais, puis des toiles. J'étais devenu le Mozart de la peinture, le diable de la toile blanche. C'était fou comme un jeune garçon de quatorze ans pouvait accomplir de vrais chefs-d'oeuvres avec un crayon ou un pinson. Bien sûr, mes parents sur-protecteurs me protégeaient des jaloux... Depuis ce putain de kidnappeur, on l'a pendu le jour d'après de ma libération.

À dix-neuf ans j'avais terminé mes études (bien sûr, j'allais en faire d'autres comme je l'avais dit plus en haut) en art, littérature et sciences. Même si je vivais encore chez mes chers parents je pouvais parfaitement gagner ma vie avec mes tableaux et sculptures. Vers vingt-et-un ans j'étais en âge de quitter le cocon familial et de vivre sans eux, sans l'aide de mes parents j'ai acheté une résidence près de Paris. J'importais des meubles qui venaient des quatre coins du monde pour décorer mon précieux havre. Il m'arrivait d'organiser des réceptions chez moi, avec des intellectuels en tout genre et bien sûr des artistes. Pour parler de tout et de n'importe quoi, savoir comment évolue le monde etc.




Un soir, le 22 novembre, j'étais invité à une exposition d'art du style "rococo". Oui je sais, c'est un nom assez débile mais c'est une dérivation de la peinture baroque qui a marqué le dix-septième siècle. Une très belle dérivation, moi-même j'ai fait une toile avec ce style.



C'est beau hein? Bon, revenons à nos moutons, je me suis rendu à cette exposition. Comme toujours d'un air ravi, l'envie de rencontrer des nouvelles personnes et d'alimenter mon inspiration créative me brûlait l'esprit. Je vagabondai dans les immenses salles et couloirs de l'exposition. Me délectant de l'incroyable visuel des oeuvres de mes congénères et je me réservais le meilleur pour la fin. Les gens parlent d'une toile qui a fait le tour de l'Europe, faite par une peintre (Vous savez, la toile que je n'ai pas pu avoir...). L'artiste en question se nommait Madame Colmer, apparemment elle était aussi originaire d'Angleterre et de France.

Une fois arrivée dans la salle privée où la toile y était exposée, une demoiselle m'observait avec un regard assez curieux. J'appris qu'elle était la peintre de ce chef-oeuvre, pendant sa présentation elle ne cessa de me regarder. Ses mots paraissaient vouloir m'ensorceler et son doux regard me captivai. Je regardai chacun de ses mouvements gracieux et calmes. Une fois l'exposition terminée, elle s'en alla. Je l'ai suivi inconsciemment, elle traversa la rue couverte de neige d'une lenteur ensorcelante. Je fis trois pas sur la route et mon souffle s'envola frappé par un carrosse.




A mon réveil j'étais sur un grand lit, je regardai le plafond. Je me souviens encore de ce plafond, jusqu'au moindre détails. Les couleurs, les formes, les motifs, je pleurai littéralement en voyant ce spectacle. J'étais comme paralysé face à cette perfection, mon corps refusait de bouger ni même mon esprit. Qu'est-ce cette transe si étrange? Je regardai ensuite l'intégralité de la pièce, c'était une sorte d'atelier. Je me suis assis sur le lit et soudain une intense brûlure s'empara de ma gorge, comme si on m'enfonçait un fer rouge dans la gorge. Soudain, j'entendis au loin un groupe d'hommes venir, mais ils étaient encore loin. Mes facultés sensorielles semblaient avoir triplés en puissance, l'ouïe, la vue, l'odorat, le goût et le toucher. Ces cinq sens ne faisait plus qu'un, plus ce sixième sens.

La porte s'ouvra, les hommes entrèrent. Ils me fixèrent d'un air curieux, se demandant qu'est-ce que je fichais ici. Une femme, oui, elle... Elle referma la porte, éteigna la lumière et cria.




Inconsciemment je savais à quoi elle faisait référence, à la seconde suivant ce cri je me suis jeté sur le premier qui était proche puis le deuxième puis le troisième et ainsi de suite. J'avais ce délicieux nectar qui sortait abondamment de leurs cous dans la bouche. Ce goût, est-ce du sang? Pourquoi est-ce si bon? Que suis-je en train de faire. Ma vision devenait flou à cause de l'extase provoquer par le sang que j'avalais. Aucun survivant, aucun témoin. Le sol était couvert de cadavres  et d'une couleur cramoisie, je me relevais doucement en m'essuyant la bouche couverte de vitae. Elle prononça mon nom juste après, comment pouvait-elle connaître mon nom? Peu importe, c'était le dernier de mes soucis.



Quand j'ai retrouvé mes esprits j'avais enfin pu savoir ce que j'étais devenu. Je croyais que c'était juste des histoires pour faire peur aux enfants mais c'était bel et bien vrai. Les vampires existaient et j'étais l'un des leurs maintenant. Condamné à l'éternité, me nourrissant des êtres vivants peuplent cette terre. La première idée qui me vint à l'esprit était la plus horrible. Je devrais commettre des meurtres pour ma survie? Rien que d'y penser, cette idée me donna envie de vomir. De nouveau les larmes aux yeux je tombais à genoux sous le choc de cette vérité. Et ma famille? Et ma vie dans tout ça? Avez-vous déjà ressentie cette forte sensation de devenir un monstre? Et bien c'est ce que j'ai ressenti à ce moment-là. J'essayais de prendre de l'air mais j'étais mort et les morts ne peuvent respirer.

Amy inquiète, me calma aussitôt. En prenant mon visage entre ses mains elle me demandait de me calmer. J'étais totalement traumatisé, une fois l'esprit un peu calme elle m'allongea sur le lit et elle m'enlaça dans ses bras. Sa peau était douce, ses mains se chauffaient petit à petit, la structure osseuse de ses doigts étaient parfaites, ses cheveux étaient doux et son visage est d'une beauté qui.... Il n'y a pas de pas de mot pour décrire cela tellement c'est de la perfection. Elle récitait des mots doux ou des phrases comme: "Je te protégerais", "Pour toujours mon amour".



Le jour d'après, j'ai assisté à mon premier Elyseum. Amy veillait à ce que je connaisse les règles d'étiquettes caïnites par coeur. La politesse et l'art de la rhétorique sont les moyens de survie en ces lieux et les armes des Toréadors. L'Elyseum en question se déroulait au Louvre, résidence festive du Prinve Villon. Comme la tradition le demandait, je devais me présenter au Prince. À notre arrivée, une Harpie annonça notre arrivée. Tous nos congénères furent étonnés de savoir que le Prévôt de Paris avait un Infant, j'ai eu droit à tout type de regard; du bienveillant à celui de vendetta. On alla ensuite se présenter au Prince, ce dernier était content de ma venue. Ça lui faisait plaisir de savoir que l'un de ses atouts avait étreint un artiste dans les murs de Paris, une belle marque de respect. Pendant le reste de la soirée Amy me présenta les vampires de la cour, ainsi que des mortels par la même occasion. À un moment elle me chuchota:

"D'habitude, les jeunes restent à l'écart des plus vieux, mais vu que tu m'accompagnes c'est différent. Ils te toléreront et ils t'apprécieront."

Ma Créatrice est-elle quelqu'un d'important dans la société caïnite? Vu les propos qu'elle tient je suppose que oui. Le reste de la soirée se passa extrêmement bien, la passion des Toréadors est parfois effrayante mais tellement attirante. C'est comme une sorte de magie endiablée qui vous fait découvrir une autre facette du monde. Sur le chemin du retour, il neigeait. On avançait tranquillement et Amy s'arrêta brusquement. Sans se tourner vers elle me dit:

-T'ais-je déjà parlé des disciplines?

-C'est comme des pouvoirs non?

-Exact, maintenant ferme les yeux et concentre-toi sur le sens de la vue et de l'ouïe.

J'ai fait comme elle me l'avait demandé, je commençai à concentrer toute mon énergie sur ces deux sens.

-Ouvre les yeux à présent.

Je les ouvris à l'instant, soudainement ma vision changea radicalement. Les détails étaient encore plus voyants et les sons plus audibles. Mais une scène interrompit ma contemplation, un petit groupe d'hommes agressaient deux jeunes femmes. Quand j'ai tourné le regard vers elle, Amy prit mon bras et m'emmena là-bas à une vitesse hallucinante. Les agresseurs se retournèrent surpris par notre présence. Elle regarda les deux jeunes femmes apeurées et leur demanda:

-Veuillez fermer les yeux s'il vous plaît.

Sans la moindre réponse, elles fermèrent tout de suite les yeux. Comme si elles venaient de recevoir un ordre d'un tyran. Pendant ce temps, on sauta aux cous des hommes discrètement. Une fois débarrassée des corps grâce aux Nosferatu (Ierk!!!) je me suis approché tranquillement vers elles et:

-Vous pouvez rouvrir les yeux mesdames.

Quand elles rouvrirent les yeux on avait déjà disparu.Dans la ruelle d'à côté je l'ai prise dans mes bras en essayant de la réchauffer grâce au sang. Sa douce peau caressait la mienne, nos âmes étaient complètement en symbiose...

(Je vais essayer de résumé le reste sinon ça risque d'être trop long pour vous)




Pendant la première partie de ma non-vie, je me suis perfectionné dans mes disciplines puis j'ai rejoint les Sentinelles de Paris avec comme chef ma Dame; la Prévôt. Je l'aidais à résoudre des enquêtes en rapport avec des vampires. Elle me laissa mener trois enquêtes pour que je fasse mes preuves. L'une concernait un vol de tableaux ( la peine est la mort ultime selon les coutumes Toréadors), la deuxième sur un sabbatique qui tuait les nouveaux nés et la troisième trouver le coupable d'un meurtre. Quatre jours plus tard je les ai toutes résolues. J'avais fait mes preuves auprès du Prévôt et auprès de la Cour apparemment.


Après un siècle d'existence, je suis parti vivre à Los Angeles entant que Sentinelle. J'ai fait un travail remarquable dans cette Praxis, comme toujours. Ensuite, je suis allé à Londres pour être Prévôt, un poste très important au sein de la Camarilla. Un des facteurs clé contre le Sabbat. Mais avant de pouvoir intégrer de tels postes, il faut avoir fait un dur entrainement sur tous les aspects. J'ai du par la suite apprendre deux disciplines en plus, la Puissance et la Dissimulation qui sont très utiles pour ma profession. Il me reste Force d'âme, mais ça sera dans un futur proche.

Actuellement je me suis installé à New York où la situation est un peu critique, il y a des postes vacants qui ont besoin d'être pris. Je vise essentiellement celui de Primogène Toréador . Cette ville a besoin d'un bon coup de balais en ce qui concerne l'ordre, le Sabbat va regretter amèrement sa venue en ces terres camaristes. Parole du (futur) Primogène des Roses

Pax Noctis



Pendant la révolution française, le prince Villon a été attaqué par les Anarchs et les Tremeres suite au génocide qui n'a pas arrangés l'affaire. Par ordre d'Amy je devais séjourner à Londres où j'étais à l'abri. Et je reviendrais que quand le coup d'état serait fini, j'aurais aimé aider ma chère ville mais un ordre reste un ordre. Je suis resté à Londres pendant dix ans (d'où mon passé de Prévôt Londonien), je demandai en échange de mon séjour en Angleterre des informations sur la situation toutes les semaines sans exceptions.

De nombreux vampires ont servis de chair à canon lors de cette révolution, un parfait acte d'Anarchie...

Maintenant je tiens à protéger Manhattan avec toute ma détermination, au nom de la Camarilla,

J'en fais le serment.